
Antonio Lanzetta – Sous la pluie (2018)
4ème de couv’…
La maison sur la colline sentait l’été et la peur. La peur de se détester, à cause de cette douleur impossible à partager. La peur de s’assumer tel que l’on est, d’affronter l’incompréhension des autres. Dans cette maison flottait l’odeur d’une enfance brisée par la violence.
Nicola Peluso n’a pas revu son frère depuis des années. Et voilà que Mattéo gît sous ses yeux à la morgue, tué par un coup de carabine tiré en plein visage, à bout portant. L’écrivain n’avait pourtant pas remis les pieds dans ce pays de vignes où il a grandi depuis plus de dix ans. D’après son amie Roberta, il serait revenu pour trouver l’inspiration.
Pourtant, Nicola trouve, dans son ordinateur, le manuscrit achevé de son prochain roman…
Mon ressenti de lecture…
Ayant beaucoup aimé Le mal en soi, je me suis tournée vers cet autre roman traduit en français: Sous la pluie.
C’est une nouvelle. Donc le ressenti sera court!
J’ai beaucoup de mal avec ce format. Même si j’aime les romans nerveux, j’éprouve énormément de difficultés à entrer dans une histoire d’une trentaine de pages. Je reste frustrée de ne pas passer suffisamment de temps avec des personnages potentiellement attachants.
Toutefois Antonio Lanzetta nous offre une histoire courte mais intense sur les dangers de l’écriture. Toute vérité n’est pas bonne à dire et quand un auteur s’écarte de la fiction pure, il s’aventure sur un chemin miné.
Et même si ces deux frères, Matteo et Nicola ne se sont pas revus depuis des années, les liens du sang restent forts et indestructibles!
Mais la chute de l’un risque bien d’entraîner l’autre sur le même destin!
Petits portraits rapides mais forts de ces deux frères dont le retour sur les terres familiales n’aura pas été une nostalgie teintée de joie…
Une petite nouvelle bien sympathique qui confirme que l’auteur, Antonio Lanzetta, est à suivre, pour ma part, dans un format plus long!
Citations…
« La maison sur la colline sentait l’été et la peur. La peur de se détester, à cause de cette douleur impossible à partager. La peur de s’assumer tel que l’on est, d’affronter l’incompréhension des autres.
Dans cette maison flottait l’odeur d’une enfance brisée par la violence. »
« Matteo, c’était quelqu’un d’entier, sans limites ni concessions. Un catalyseur d’émotions qui entraînait tout le monde sur son passage. Son âme suintait de chaque page et imprégnait le lecteur. »
« Son frère avait beaucoup de passions, mais chez lui, l’écriture était un besoin viscéral. (…) De son côté, Nicola était plutôt du genre à bouquiner du Lee Child en format poche (…). »
Retrouvez ICI, mon avis sur Le mal en soi!
Sors couverte ! 😀
Je viens de me prendre une rincée, j’te raconte même po! :p
Je me suis chopée un rhume à cause des courants d’air dans les métros
Les rhumes de printemps sont traîtres! Un coup de chaud, un coup de frais et zou, atchoum! Soigne-toi bien! 😉
Ça va mieux ! Mais j’ai cumulé le rhume avec la migraine, j’avais le front et les sinus en feu ! Là, ça va mieux…. les fenêtres ouvertes dans les métros, c’est la mort !
Outch… pô bon la migraine! 😮
Non, c’est une vraie salope, mais je ne vais pas trop me plaindre, elle avait juste des pics de douleur, mais entre les deux, j’avais la paix.
Tu as de la chance! Perso, elle prend un peu trop ses aises trop souvent et trop durablement! 😦
24h maxi, jamais plus… mais elle mute depuis toujours, elle ne reste jamais la même, pas toujours eu mes migraines aux mêmes moments, avant, l’alcool la faisait venir, maintenant pas…
Mutante chez moi aussi mais elle est comme le mistral dans le sud de la France, quand elle a décidé de s’installer c’est 3, 6 ou 9 jours! Une vraie misère! 😦
Purée, et moi qui me plains de mes 24h !!!! 😦
Celles de 24h sont rares chez moi et sont presque une bénédiction! Mais j’ai bon espoir de les mater! 😀
Un jour, on vaincra !
Yes! :p