Récap’ Juillet 2018…

Récap' Juillet 2018

Bye bye au mois de Juillet et coucou au « pense-pas-bête »
entre deux visites du Flop & Top
!

Sortez vos tablettes, stylos et carnet, ticket de caisse ou de métro, plumes d’oie ou calames pourquoi pas, il y a de quoi noter, comme toujours!

Allez zou, on se concentre 5 mn, c’est parti pour le Récap’!

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Les fantômes de Manhattan – R.J Ellory

 

R.J Ellory - Les fantômes de Manhattan (2018)

R.J Ellory – Les fantômes de Manhattan (2018)

blognote 4

4ème de couv’…

Annie O’Neill, 31 ans, est une jeune fille discrète.
Elle tient une petite librairie en plein cœur de Manhattan, fréquentée par quelques clients aussi solitaires et marginaux qu’elle.

Son existence est bouleversée par la visite d’un nommé Forrester, qui se présente comme un très bon ami de ses parents, qu’elle n’a pratiquement pas connus. L’homme est venu lui remettre un manuscrit. Celui-ci raconte l’histoire d’un certain Haim Kruszwica, adopté par un soldat américain lors de la libération de Dachau, devenu ensuite une des grandes figures du banditisme new-yorkais.

Quel rapport avec l’histoire intime d’Annie? Et pourquoi le dénommé Forrester est-il si réticent à lui avouer la vérité?

Lorsqu’elle lui sera enfin dévoilée, celle-ci sera plus inattendue et incroyable que tout ce qu’elle a pu imaginer. Lire la suite

Citation livresque du soir…

colère

« Il fallait que les choses bougent. Il fallait agir dans ce sens, et elle était suffisamment pragmatique pour comprendre que le pivot de tout changement ne pourrait être qu’elle-même, que pareils changements ne se produisaient qu’à condition d’être provoqués, qu’ils ne pouvaient en aucune manière être le résultat d’une intervention divine. Ils étaient le fruit de la détermination, de l’action, de l’exemple. Les gens changeaient avec vous, ou ils ne vous suivaient pas. »

Les fantômes de Manhattan – R.J Ellory

Citation livresque du soir…

portraitdetoi

« (…) l’individu semblait en quelque sorte se suffire à lui-même (…). Il donnait l »impression d’un être parfaitement abouti, sans attaches ni attributs, sans tout ce bagage d’une grande complexité émotionnelle que tant de gens semblent trimballer avec eux comme s’ils n’avaient pas trop but dans la vie. »

Les fantômes de Manhattan – R.J Ellory