Jack Reacher T12 – L’espoir fait vivre – Lee Child

Lee Child - L'espoir fait vivre

Lee Child – Jack Reacher T12 – L’espoir fait vivre (2011)

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4ème de couv’…

Jack Reacher n’est pas un homme compliqué: une brosse à dents (pliable), un passeport (périmé) et la liberté (absolue) de bourlinguer à sa guise, il ne demande rien de plus.

Débarqué dans la ville de Despair au Colorado, aux deux tiers de son beau projet de traversée diagonale du pays, Reacher se voit pourtant jeté en prison puis expulsé manu militari, et renvoyé là d’où il venait.

Sans explication.

C’est le meilleur moyen d’aiguiser sa curiosité: que se passe-t-il donc à Despair qui mérite d’être si bien caché? Et surtout: qui oserait croire que Reacher accepte d’obéir à quiconque – pire, de renoncer à une belle diagonale? Lire la suite

Citation livresque du soir…

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« (…) il avait vu ce dont sont capables des foules en colère.
Il avait vu l’instinct grégaire à l’œuvre: l’anonymat, la dissipation des inhibitions, les permissions implicites de l’action collective.
Il savait combien une foule en colère est l’animal le plus dangereux que la terre ait jamais porté. »

Jack Reacher T12 – L’espoir fait vivre – Lee Child

Citation livresque du soir…

Perfection

« Reacher n’aimait pas les foules.
Il appréciait la solitude et était légèrement agoraphobe, ce qui ne signifiait pas pour autant qu’il eût peur des grands espaces déserts. Une idée fausse, très répandue.
Il adorait les grands espaces.
Il avait plutôt un léger problème d’agora, ce vieux terme grec désignant un marché public bondé. Les foules livrées à elles-mêmes sont (…) dangereuses. »

Jack Reacher T12 – L’espoir fait vivre – Lee Child

Citation livresque du soir…

488

« Le cliché veut que les flics s’arrêtent toujours prendre des beignets dans une cafétéria avant et après le travail, mais si les clichés sont des clichés, c’est parce qu’ils correspondent souvent à la vérité. »

Jack Reacher T12 – L’espoir fait vivre – Lee Child