« L’apparence ne l’avait jamais intéressé. Ni la sienne ni celle des autres. Seul l’intérieur comptait pour lui, et pas sur le mode de la psychologie de bazar des magazines qui veut que la beauté vienne de là, mais dans un sens plus profond: tout ce qui pouvait émaner de l’intime. Les idées, les pensées, tout ce qui faisait qu’un individu en était un. Mais aussi le reste: les peurs, les ténèbres – ce qui remontait à présent à la surface et le tourmentait. »
Dérivations – Fredrik T. Olsson