Récap’ Novembre 2017…

Le « pense-pas-bête » entre deux visites du Flop & Top est de retour
pour ce mois de Novembre!

J’adore le mois de Novembre!
Non pas parce que Mère Nature me colle une année supplémentaire dans ma face… quoique, en fait oui, car c’est une excuse lamentable pour ajouter encore plus de livres à ma PAL que d’habitude!
J’aime le mois de Novembre car l’hiver s’installe pour de bon, les sublimes couleurs de l’automne sont encore là mais le blanc du givre et de la neige (pour les chanceux!) appelle au cocooning, bien au chaud avec une tasse de café, du chocolat (indispensable, le chocolat!) et, bien évidemment, une pile de bouquins au bout des doigts! 

Oui… mais lesquels?

Allez zou, c’est parti pour le Récap’!

Il est toujours minuit quelque part – Cedric Lalaury

Cedric Lalaury – Il est toujours minuit quelque part (2016)

4ème de couv’…

Bill Herrington est un homme heureux. La cinquantaine approchant, il a une femme qu’il adore, deux filles aimantes, et un poste de professeur de littérature dans une prestigieuse école préparatoire. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes… jusqu’au jour où il trouve dans son casier l’exemplaire d’un roman à sensation publié par un mystérieux inconnu: Richard Philip Kirkpatrick. Pas de quoi chambouler le professeur Herrington.
À un détail près: ce roman raconte une histoire vraie.
L’histoire d’un crime dont Bill est persuadé que personne n’en avait eu connaissance. C’est du moins ce qu’il a toujours cru.

Ce livre étrange va bientôt envahir l’existence de Bill et tout contaminer autour de lui à la façon d’un virus. Sa vie paisible et confortable, ainsi que son équilibre psychologique, vont vite menacer de voler en éclats sous l’effet dévastateur de ce roman vengeur qui a réveillé tous les fantômes du passé.

Citation livresque du soir!

« Tout au long de son récit, il fut dans un état second – comme en pilotage automatique. Une partie de son cerveau s’occupait à faire la conversation avec sa fille tandis que l’autre était encore sous l’emprise de ce qu’il venait de lire. Son esprit était contaminé par les mots du romancier qui continuaient de s’insinuer en lui. »

Il est toujours minuit quelque part – Cedric Lalaury