« (…) l’individu semblait en quelque sorte se suffire à lui-même (…). Il donnait l »impression d’un être parfaitement abouti, sans attaches ni attributs, sans tout ce bagage d’une grande complexité émotionnelle que tant de gens semblent trimballer avec eux comme s’ils n’avaient pas trop but dans la vie. »
Les fantômes de Manhattan – R.J Ellory