Le week-end – Natasha Preston

Natasha Preston - Le week-end (2018)

Natasha Preston – Le week-end (2017)

blognote 2

4ème de couv’…

« Ils pensent qu’ils sont invincibles. Ils pensent pouvoir faire et dire ce qu’ils veulent, sans jamais avoir à en assumer les conséquences. Ils ne m’ont pas laissé le choix. Il est temps pour eux de payer pour leurs péchés. »

Un week-end entre amis, dans un chalet loin de tout, c’est exactement ce dont Mackenzie avait besoin. La bande se retrouve, impatiente que la fête commence. Un verre, puis deux.  Et la nuit tombe dans l’oubli.

Au réveil, c’est l’horreur. Deux d’entre eux sont morts, sauvagement assassinés.

Aucune trace d’effraction ni signe de lutte. Les cinq survivants n’ont d’autre choix que de se suspecter. Quelqu’un ne dit pas la vérité. Et la première erreur de Mackenzie est de croire que ce cauchemar est terminé.

Mon ressenti de lecture…

MacKenzie passe le week-end avec Aaron, Courtney, Megan, Kyle et… malheureusement… Josh. Elle ne peut pas le voir, ce mec! Mais bon, pour ses amis, elle fait un effort et le frère qui s’invite au dernier moment, est charmant donc bon…
Au lendemain d’une soirée bien arrosée, ou devrais-je dire noyée, ce n’est pas qu’une gueule de bois carabinée qui les attendent! Deux des leurs sont morts, assassinés, sans que personne n’entende ou ne s’aperçoive de quoi que ce soit!
Ce ne peut être que l’un d’eux le coupable, mais qui?

Autant j’ai aimé La cave, son premier titre traduit en français, autant là, je suis restée plus que perplexe.

Ce roman s’adresse clairement à un lectorat beaucoup plus jeune que moi! Je ne suis pas la bonne cible!

Non pas que l’âge des personnages m’indispose, je ne suis d’ailleurs pas contre quelques lectures estampillées arbitrairement « jeunesse » de temps en temps.

Mais le problème dans ce roman est que les jeunes mis en situation sont superficiels, avec une analyse psychologique inexistante, et que l’intrigue est faiblarde, voire incohérente. Du sang, une pseudo enquête par des amateurs, une amourette, de la beuverie, des jalousies… Ouaip… ça ne vole pas très haut.

Beaucoup trop de dialogues plats et sans saveur. Un vocabulaire simpliste et parfois répétitif comme le mot « chaud » ou « chaleur » répétés à l’envi pour traduire une jeune fille émoustillée à l’approche du jeune bad boy…

Non, franchement, comme lecture « adulte », passez votre chemin.
Par contre, j’imagine qu’une ado pourrait apprécier ce style de roman, pour se faire peur et frétiller devant le mâle… Et encore, je n’en suis pas certaine…

Citations…

« Certaines blessures ont du mal à cicatriser et je n’avais pas l’intention de pardonner à quelqu’un qui ne regrettait pas ses actes et n’avait pas changé de comportement. »

« Je me suis dit qu’on pourrait peut-être devenir frères, maintenant qu’on était capables de décider par nous-mêmes. Avant, c’était nos parents qui tiraient les ficelles et ils le faisaient souvent dans des directions opposées. »

Blog Note 2

 

The Bear Memoria

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