« Est-ce que certains meurent dans ces cercueils verticaux? Sans doute. Il y fait un froid de morgue. Comme pour conserver les cadavres de ceux que l’on retrouverait après plusieurs jours de séquestration. Bizarrement ce n’est pas la mort en elle-même que l’on redoute, mais plus la manière dont elle viendra, le temps qu’il faudra pour qu’elle nous achève. Nous sommes à sa merci. À leur merci. »
Une libération – Nicolas Rabel