« Ils avaient réussi à répliquer le génie des Brillants. Ils étaient parvenus à donner des capacités hors du commun à des gens normaux. Une fois que cela serait disponible à grande échelle, la guerre perdrait toute raison d’être. La majorité n’aurait plus à craindre les dons d’une infime minorité et, par conséquent, cette dernière n’aurait plus à redouter le courroux du plus grand nombre. Le monde n’aurait plus aucune raison de s’embraser.
Sauf qu’au lieu de partager cette découverte, Abraham Couzen avait plié bagage et disparu.
Et le monde avait bel et bien pris feu. »
Marcus Sakey – Les Brillants – T3 – En lettres de feu