« (…) le crâne des gens, c’est quand même un endroit mystérieux non? La cervelle, c’est comme une forêt, de temps en temps il faut l’éclaircir, sinon ça devient impraticable. La forêt, tu la soulages à la tronçonneuse. La cervelle, tu l’allèges en laissant s’exprimer les idées bizarres qui l’embrouillent. C’est du mystère et de la survie, Petrus, rien d’autre. »
La montagne rouge – Olivier Truc