Démolir, c’est facile, avilir aussi… construire, c’est plus dur, surtout si on doit le faire dans les règles de l’art (main-d’œuvre qui a des droits !!!).
Le mal, c’est laisser libre cours à tous les excès, perversions et égoïsmes, sans réflexion aucune… le bien demande plus d’effort, de questionnement, de renoncement parfois… et on sait très bien que l’homme n’aime pas la frustration…
Non, il n’aime pas non plus qu’on lui dise « non »…
Dans le roman que je lis, il y a des passages sur la Russie du temps de Staline, les déportations… et certains, voulant rester en vie, devenait les petits chiens des prisonniers de droit commun pour avoir un peu plus à manger et survivre… donc, ils volaient les autres, les tabassaient, se comportaient comme des salopards. L’humain est la pire des choses, mais heureusement qu’ils ne sont pas tous ainsi.
L’instinct de survie peut pousser l’homme à des extrémités redoutables… il peut transformer un homme social en une machine du mal… mais beaucoup ont déjà ce mal en eux, même en temps de paix et de « normalité »… La nature humaine n’est pas très jolie… 😦 Quel est ton livre du moment? Curieuse, je suis car j’aime beaucoup quand l’action se situe en Russie!
« Toutes les vagues de l’océan » de Victor Del Arbol (ou Abrol ??)… une partie en Russie dans les années 30, une partie dans l’Espagne franquiste et une autre dans l’Espagne des années 2000.
Certains étaient déjà des salopards, mais devenu en raison des évènements qu’ils avaient vu sous leurs yeux… mais ils auraient pu ne pas tourner mal aussi. Les autres, des opportunistes.
Outch, le bouquin a l’air assez dense et riche! Hâte de lire ta chronique alors! 🙂
Tout à fait ! Il est plus facile de faire le mal que de faire du bien…
C’est clair! Tout à fait oh avec toi, y’a qu’à voir le monde d’aujourd’hui!
Démolir, c’est facile, avilir aussi… construire, c’est plus dur, surtout si on doit le faire dans les règles de l’art (main-d’œuvre qui a des droits !!!).
Le mal, c’est laisser libre cours à tous les excès, perversions et égoïsmes, sans réflexion aucune… le bien demande plus d’effort, de questionnement, de renoncement parfois… et on sait très bien que l’homme n’aime pas la frustration…
Non, il n’aime pas non plus qu’on lui dise « non »…
Dans le roman que je lis, il y a des passages sur la Russie du temps de Staline, les déportations… et certains, voulant rester en vie, devenait les petits chiens des prisonniers de droit commun pour avoir un peu plus à manger et survivre… donc, ils volaient les autres, les tabassaient, se comportaient comme des salopards. L’humain est la pire des choses, mais heureusement qu’ils ne sont pas tous ainsi.
L’instinct de survie peut pousser l’homme à des extrémités redoutables… il peut transformer un homme social en une machine du mal… mais beaucoup ont déjà ce mal en eux, même en temps de paix et de « normalité »… La nature humaine n’est pas très jolie… 😦 Quel est ton livre du moment? Curieuse, je suis car j’aime beaucoup quand l’action se situe en Russie!
« Toutes les vagues de l’océan » de Victor Del Arbol (ou Abrol ??)… une partie en Russie dans les années 30, une partie dans l’Espagne franquiste et une autre dans l’Espagne des années 2000.
Certains étaient déjà des salopards, mais devenu en raison des évènements qu’ils avaient vu sous leurs yeux… mais ils auraient pu ne pas tourner mal aussi. Les autres, des opportunistes.
Outch, le bouquin a l’air assez dense et riche! Hâte de lire ta chronique alors! 🙂
Le livre est épais aussi !! 😀
Tout pour plaire! 🙂
Oui !